Le blog de JP33

Le frelon asiatique est-il dangereux pour l'humain ?

C'est la première question qu'on se pose !

Et on a bien raison !

Charité bien ordonnée commence par soi-même ! C'est bien connu !

Certains disent officiellement, que le frelon asiatique n'est pas plus dangereux que le frelon européen, il serait même moins agressif !

C'est une façon de voir ! De dire ! D'écrire et donc de communiquer ! ! ! . . .

Jusqu'en 2005, jamais personne, même parmi les poètes les plus masochistes, n'a vanté la douceur du dard et la passivité d'un frelon, d'une guêpe ou même d'une abeille.

Les apiculteurs le savent bien. Ils se protègent quand ils travaillent sur leurs ruches et savent prendre les précautions adéquates en les enfumant.

Ils sont d'ailleurs invités à déclarer la présence des ruches pour signaler le danger !

A part les jeunes enfants ignorant le danger, qui donc s'amuserait à déranger un nid de guêpes, de frelons ou une ruche ?

Un nid de frelon asiatique à basse altitude représente un réel et grave danger pour les enfants en premier lieu, mais aussi pour les inconscients ou tout simplement pour ceux qui ne savent pas ce que c'est ! ! ! . . .

Mais qui pourrait deviner, que ce danger peut se révéler en taillant sa haie, en tondant sa pelouse, en soulevant une tuile, en levant un couvercle de regard d’eaux pluviales, en ouvrant un coffret EDF ou GDF, en entrant dans son abri jardin, en secouant son prunier ou son cerisier, en nettoyant une niche à chien, en récupérant un jouet jeté par mégarde dans un massif, en ouvrant ses volets, en attrapant un nichoir à oiseaux, en remuant son compost, en enfourchant un tas de broussailles, en descendant son volet  roulant, en s'appuyant contre le tronc de son vieil olivier ou même en enfilant une botte restée inutilisée quelques semaines au fond du garage ?

Et surtout, qui réalise le risque croissant de trouver une telle situation ?

Ce risque est multiplié par la quantité incroyable et renouvelable de nids de frelons asiatiques comme on peut déjà le constater en Gironde.

D’ici peu de temps, toute la France sera concernée et ira de surprise en surprise.

Qui donc réalise ce risque ?

Le problème avec ces nids bas, est que si l'on n'a pas connaissance du nid (nid souvent caché), il est fort à parier qu'on le dérangera sans le vouloir et sans s'y attendre.

Pour les déranger, il suffit : 

- de fortes vibrations : branches remuées, marche sur toiture, ouverture de porte bruyante

- d'un bruit important : tondeuse, mobylette, taille haie thermique

- passage trop proche

Une fois dérangée, la colonie de frelon peut attaquer !

Une, deux et trois piqûres, et bien plus si on a pas compris qu'il fallait s'éloigner au plus vite et de préférence au delà de 10 mètres de distance, sachant que plus le nid est gros, plus le nombre de piqûres peut être important, plus on y risque sa peau et plus il vaut mieux s'éloigner encore plus vite ! ! !  

La piqûre d'un frelon asiatique est toute aussi violente et dangereuse que celle d'un frelon européen. Seule la femelle est équipée d'un dard pouvant sortir de 6 millimètres et traverser même un gant de cuir pour travaux extérieurs (j'en ai fait les frais). Contrairement à l'abeille qui laisse son dard harponné et planté dans la chair de la victime piquée, le frelon asiatique peut s'acharner et piquer plusieurs fois.

La dose de venin injectée par le frelon est plus importante que celle d'une guêpe et donc plus douloureuse. Les effets qui s'en suivent sont aussi plus importants.

En cas d'allergie, une seule piqûre mal placée (gorge, bouche et plus largement la tête) peut entraîner un œdème de Quincke et la mort si un traitement spécifique n'est pas mis en œuvre très rapidement.

En cas de piqûres multiples (très fréquent) il y a risque de troubles importants, car le venin est neurotoxique et cardiotoxique. Il est fortement conseillé de consulter un médecin ou pharmacien très rapidement et accompagné de préférence. 

Quelques petites astuces pour éviter les surprises freloniques dans les zones déjà envahies (34 départements de France, au moins à ce jour : août 2010) :

- avant de tailler une haie ou tondre en bordure de massifs, tapoter le feuillage avec un balais à manche long ! Bien ouvrir l'œil et s'apprêter à courir le cas échéant, si un ou plusieurs frelons (ou guêpes) sortent de la haie,

- jetez un œil régulièrement à l'intérieur au dessus de l'entrée de vos abris extérieurs,

- avant de monter et se déplacer sur un toit, s'assurer qu'aucun frelon ne guète à l'entrée d'une cavité sous tuile ou aération,

- avant de soulever un couvercle ou autre accessoire à l'extérieur, vérifier s'il n'y a pas d'entrée/sortie de frelons ou guêpes (un petit trou leur suffit pour rentrer), et ne pas hésiter à secouer ou faire vibrer la chose pour s'assurer d'aucune agitation frelonique.

Quelques preuves par les images ci-contre dans le catalogue "Nid Danger"

Et un petit aperçu ci-dessous.

Si vous avez bien compris la situation, signez la "Pétition pour la lutte anti frelon asiatique", ou demandez à : aaafa33@gmail.com, la version imprimable de la pétition à faire signer largement à votre entourage, parents, enfants, amis, voisins, collègues, élus et autres encore !

Pas discrets et pris sur le fait !

Je parle des frelons bien sûr !

Un vrai délire de présence de frelons asiatiques dans un saule pleureur à Eysines !

La raison : des colonies de pucerons et leur miellat dont le frelon raffole !

Comment s'en débarrasser ?

Surtout si le cercle de famille s'agrandit.

C'est la question que se pose le jeune propriétaire qui croyait avoir trouvé un havre de paix dans ce quartier où les noms de rues sont : rue des papillons, rue des abeilles, impasse des libellules, etc.

L'an dernier, à 150 mètres de là, bien que prévenu en août par mes soins, un nid était resté en lieu et place jusqu'en décembre malgré les propositions de destruction faites, sous prétexte que le propriétaire ne le voyait pas. Il aura fallut que l'arbre se déshabille complètement pour qu'il constate la réalité de l'information !

Dommage ! Mais il était trop tard !

Quand un arbre est envahi par les frelons asiatiques, les conseils de AAAFA33 sont :

- trouver le ou les nids de frelons pour éradiquer leurs colonies,

- traiter le saule pleureur ou autre, contre les pucerons et autres parasites,

- piéger les frelons en attendant d'avoir détruit le ou les nids environnant,

- informez votre Mairie,

- informez AAAFA33 par courriel à aaafa33@gmail.com pour une réponse personnalisée !

Pour y arriver, il faut alerter le voisinage, afin qu'il cherche le nid  dans les haies, les buissons, les abris jardins et autres toitures accessibles et bien entendu dans les arbres !

Ne pas oublier de leur signaler qu'un nid bas peut-être dérangé sans le vouloir et peut s'avérer très dangereux !

Si l'hiver dernier un nid a été découvert après la chute des feuilles dans le quartier, il est fort à parier que plusieurs nids se sont formés cette année.

Il est donc important de ne pas agir seul dans son coin !

Ce problème dépasse la seule propriété individuelle ! Il concerne le quartier, la Municipalité, la Communauté de Communes, le Département, la Région, je dirais même l'Etat et l'Europe d'ici peu ! 

Pour lutter contre les pucerons, Raymond le jardinier nous dit souvent dans sa rubrique sur France Bleue Gironde, qu'il suffit de savon noir, huile de lin, alcool à 90° (une cueillère à café de chaque) dans 1 litre d'eau. Le tout doit être pulvérisé copieusement sur l'ensemble des branches et des feuilles (pas cher et très écolo) !

Ne pas hésiter à y revenir 8 jours après si l'attaque est importante !

Quant au piégeage, appâtez comme vous l'entendrez, mais ajoutez des frelons vivants que vous attraperez au filet à papillons, s'ils restent vivants quelques jours dans le piège, ils s'attirent entre eux et c'est le meilleur appât.

Conseil supplémentaire en prime : Signez la "pétition pour la lutte anti frelon asiatique"

Le 30 mars 2010, David me signalait par Mel qu'il pensait avoir découvert le début d'un nid de frelon asiatique, joignant à son message une photo édifiante et d'une qualité rare !

Nous avons mis au point la récupération du nid, pensant enlever la tuile support après avoir attrapé la reine avec mon fameux filet à papillon qui en a déjà tant pris !

Ça s'est passé différemment, car la tuile faisait partie du faîtage, dommage !

Après avoir fait quelques photos supplémentaires et avoir tourné quelques images vidéo, la reine nous laissa en plan, et ne revint pas, malgré 2 heures d'attente.

J'ai bien cru qu'elle avait abandonné le nid.

Etonnant tout de même !

Changement de stratégie obligé, il fut décidé de remettre à plus tard une nouvelle tentative de nuit si elle revenait, sinon le nid serait perdu de toute façon et rendait inutile sa destruction.

Ce fût tardif, mais elle revint avant la nuit, elle n'était peut-être pas pressée de revoir son nid, sachant qu'il faisait une température agréable et que les œufs n'avaient pas besoin d'être réchauffés !

  Présumant de la vie infernale d'une jeune mère élevant sa progéniture plus nombreuse tous les jours et fabriquant le nid toute seule, elle avait du en profiter un max : bain de soleil, régalade à tout va de pollen et de nectar, sieste à gogo, sans oublier de boire à s'enivrer de rafraîchissement.

Alors le mitraillage photo commença et David y pris goût, au point qu'il m'a fait passer une série de photos superbes et descriptives qu'il m'a invité à diffuser sur le blog en qualité réduite.

Partager ce qui est rare n'est pas courant !

Alors profitez-en !

Vous les trouverez dans le catalogue ci-joint intitulé : "Naissance d'un nid"

Ces photos sont disponibles en "qualité originale extra" pour ceux qui voudraient en faire une édition papier. Il suffit de s'adresser par Mel à :

AAAFA33@gmail.com et faire proposition,

ou par courrier à :

AAAFA33 - 7, rue de Bos - 33185 - LE HAILLAN

Signez la "Pétition pour la lutte anti frelon asiatique"

Entre midi et deux, j'ai été faire un tour au Parc bordelais, à deux pas de mon lieu de travail !

Equipé de mon filet à papillon et d'un bocal plastique (pour éviter toute casse malencontreuse), je suis retourné vérifier quelque chose que j'avais pressenti fin mars.

J'avais observé à la même heure et au même endroit, à savoir aux abords de tas de troncs de marronniers récemment coupés et entassés sur le bord sud du Parc bordelais, j'avais observé donc, des femelles fondatrices (trois au moins) roder autour des souches et des troncs.

J'ai bien fait d'y retourner, car elles étaient au rendez-vous !

La première observée m'a permis de m'assurer qu'elle était bien entrain de faire son nid, puisque occupée à grappiller du bois mort, et à en faire une boulette ! Ca a bien duré une bonne minute, et j'ai bien deviné qu'elle avait été faire un tour dans une fleur puisqu'elle était couverte de pollen. Ce qui lui donnait un drôle d'air, elle avait l'air d'une vieille aux cheveux grisonnants.

Quand elle eut fini, j'ai bien senti qu'elle allait s'envoler, mais je n'ai pas eu le temps d'ajuster mon tir avec le filet à papillon et elle s'en est allé vers les grands platanes qui surplombent le terrain privilégié des Pétanqueurs. J'ai pesté sur le moment, mais j'ai vite réalisé que c'était l'occasion rêvée de voir combien de temps elle mettrait entre chaque corvée de bois !

40 minutes après, elle est revenue exactement au même endroit, sans aucune hésitation, et s'est remise à grappiller des fibres de bois pour faire sa boulette ! J'avais vu juste ! Et j'étais satisfait et renseigné !

J'en ai même déduit (à re vérifier cependant) qu'elle avait trouvé une bonne mine de matière première : du bois, sec, fin, plutôt pourri mais sans trop.

Et j'ai eu confirmation que c'était bien la même femelle, au vu de sa précision pour retrouver le même endroit au centimètre près.

J'ai eu aussi confirmation que c'était bien une femelle fondatrice ayant démarré son nid, puisqu'elle grappillait des fibres de bois pour le construire.

Pendant l'attente, j'ai saisi une autre frelonne à quelques mètres de là (toujours en corvée de bois), puis en repartant une autre encore dans les camélias rouges à pétales simples, à 100 mètres de là (elle était entrain de se restaurer, enfoncée la tête la première entre les étamines de la fleur, à se régaler du nectar du fond !

En tout cas, ça fait 3 reines de plus dans ma cagnotte !

(Depuis et au total au 22 avril : 10 femelles fondatrices attrapées au filet à papillon au Parc Bordelais !)

Je n'ai qu'un seul regret : celui de ne pas avoir emmené la caméra pour vous montrer ce que j'ai vu et observé de près, de très près même. Ce sera sûrement pour la prochaine fois, car il faut toujours observer et comprendre, avant de filmer quelque chose d'intéressant.

Marie Claude, intriguée par mon filet à papillon, s'est approchée et nous avons échangé à ce sujet : " Elle m'a raconté que le 14 juillet 2008, elle s'est fait piquée à l'oeil par cette horrible bestiole, chez elle, alors qu'elle habite au 7 ième étage d'un immeuble de standing qui donne sur le Parc Bordelais ! Le frelon traversait tout simplement au plus court, à travers son appartement, afin d'alimenter son nid qui se trouvait de l'autre coté à une vingtaine de mètres de hauteur dans un marronnier, (chose qu'elle découvrit par la suite, quand les feuilles en fûrent tombées).

Je ne vous raconte pas l'horrible souvenir qu'elle a de ce 14 juillet 2008, alors que c'était la Fête dans les jardins trés prisés de l'Elysée, à l'endroit même où l'on ne veut toujours pas déclarer cette espèce comme "Nuisible" ! .

Devra t-on attendre qu'un nuage de frelon ne mette en péril la circulation aérienne pour réaliser enfin la situation et que des mesures adaptées soient enfin prises ! .

 Mais tout ceci me donne l'occasion de vous montrer des photos prises le 31 mars par David, à afficher sur le Blog en qualité réduite, aussi géniales que rares.

La qualité originale est extra : 4288x2848 pour ceux que ça intéresse pour une éventuelle édition papier contacter aaafa33@gmail.com

  Il s'agit d'un tout jeune nid, en construction sous une tuile du toit de son garage sous surveillance photo (à suivre).

Signez la "Pétition pour la lutte anti frelon asiatique"

Les reines sont-elles de sortie ? De frelon asiatique bien sûr !

Si c'est le cas, c'est reparti pour une nouvelle saison : 2010 !

Mais de quoi s'agit-il en fait !

Les Reines en question, ce sont les femelles fondatrices de l'espèce "frelon asiatique, frelon d'Asie ou frelon chinois" pour le citoyen Lambda, ou "vespa velutina nigrithorax" pour les scientifiques, ou "VVN" pour les scientifiques pressés qui écrivent beaucoup et communiquent beaucoup, ou encore "frelons à pattes jaunes" pour éviter le protectionnisme abusif.

Ces femelles dites fondatrices, sont fécondées avant l'hiver, et hibernent jusqu'aux premières douceurs du printemps.

Au sortir de l'hiver, elles sont solitaires et se préparent à fonder leur propre colonie, populeuse et envahissante afin de perpétuer l'espèce durant la saison suivante !

Pendant la cinquantaine de jours qui suivent le démarrage du nid, elles sont seules à s'occuper de tout, se nourrir, construire l'ébauche du nid, pondre et nourrir les larves, jusqu'à la naissance des premières ouvrières adultes qui prendront la relève pour les tâches de construction, de nourrissage et de défense.

Quand je dis qu'elles sont de sortie elles devraient l'être !

En fait, je pense que le yoyo des températures que nous subissons encore en ce moment, ne les a pas toutes poussées dehors, loin de là !
Quelques signalements ont été fait à AAAFA33, (AAAFA33 compte beaucoup d'observateurs de terrain répartis un peu partout en Gironde et ailleurs), mais rien de très massif !

- quelques unes attrapées sur le Bassin d'Arcachon (micro-climat oblige) avant le 15 février 2010

- une tuée, rue Sainte Catherine à Bordeaux et deux vues à Caudéran le 19 février,

- deux vues au parc bordelais le 15 mars (mais je n'avais pas mon filet à papillon)

- une écrasée contre un mur le 17 mars par Jean-Pierre C. de Saint Médard en Jalles.

- une récupérée vivante dans sa tannière le 18 mars par le blogueur (photo de la Star après)

- trois atrappées le 26 mars dans deux pièges (fournis par la Ville) Résidence "Ile de France" (tiens, comme par hasard en Île de France) mais du côté d'Arlac à Mérignac en Gironde.

- cinq la semaine dernière, écrasées sur l'étalage fruits et légumes d'un commerce en Centre ville au Haillan.

- cinq piégées par Daniel B à Magudas cette semaine

- deux à Carignan de Bordeaux par Jean-Pierre A.

- deux le 27 mars, impasse Edmond Rostand toujours à Mérignac.

- une le 27 mars, tuée à l'insecticide dans la maison de Joel P de Saint Médard en Jalles

Bon enfin, rien de très invasif, diraient certains !

A moins qu'on ne les ait pas vues ?

Il est vrai qu'avec les élections régionales, tout le monde regardait France 3 Régional, pour voir si on parlait du frelon asiatique qui, tout de même, a envahi la Région, les autres Régions y passent aussi, les unes après les autres, même l'Ile de France est touchée maintenant !

D'ailleurs c'est marrant, dès le lendemain des résultats des Régionales, le journal SUD-OUEST sortait une pleine page sur la polémique sur l'utilité du piégeage des femelles fondatrices et sur la sélectivité des pièges, alors que quelques jours avant, sur ce même blog, on trouvait les photos d'un piège très, très, très sélectif qui devrait faire taire ceux qui dénoncaient le manque de sélectivité des pièges, les mettant tous dans le même sac.

Et s'appuyant sur une étude très pointue et détaillée de la Société Linéenne de Bordeaux, mais sans préciser les caractéristiques des pièges utilisés lors de cette étude.

Il est vrai que l'hiver s'est montré froid, très froid et même long !

D'ailleurs, le 18 mars, alors que je jardinais, je surprenais une "reine", encore dans sa cachette, toujours plus ou moins en hibernation !

J'ai fonçé vers l'appareil photo, j'ai enfilé les gants de gros cuir, et me suis armé d'une nasse style bouteille plastique pour piège !

Quand je suis revenu, elle était toujours là, ébahie par l'intru qui la surprenait encore au lit !

Et hop ! Souriez ! Clic ! Photo rapide !

Souriez encore ! Re Clic ! Re Photo !

Et hop ! Fermez les yeux ! Et hop ! Projection dans la bouteille, et fermeture de la nasse avec le goulot renversé. Sans perdre un instant : inspection sous tous les angles !

C'est sûr, tout s'est passé très vite, il fallait pas louper l'occasion !

   Une Reine ? Ca ne se loupe pas !   

  Elle s'est retrouvée au panier, sans rien  comprendre !

   C'est ça la culture du résultat ! ! . . .

Je l'ai récupérée et installée dans une cage en plexiglas pour mieux l'observer.

Et là, elle a fait la Star, elle a fait sa comédie :